Nous naissons comme des bêtes, nous mourrons comme des bêtes, mais pourquoi refusons-nous obstinément d’accepter que nous vivions comme des bêtes ? Pourquoi les enfants sont-ils si proches des animaux ? Sont-ils encore un peu bêtes ou bien moins bêtes que nous ? Les découvertes récentes de l’éthologie bouleversent notre rapport aux animaux : non, ils ne sont pas des machines comme le prétendait Descartes, mais des êtres sensibles, doués de conscience pour certains. Après les droits de l’homme, pour quand les droits des animaux ? Ils vivent en symbiose avec la nature alors que nous détruisons faune et flore… Pas d’Inquisition, de Goulag ni d’Auschwitz dans le monde animal… Finalement, la frontière entre l’homme et l’animal n’est-elle pas la bêtise humaine ?
Sommaire de ce café-philo
Introduction
La « bêtise » et la philosophie
Le « propre de l’homme » et l’éthologie
Autres thèmes
Conclusion
Annexe : le bestiaire des philosophes
Le texte complet sera bientôt disponible dans le livre Cafés-philo