Fukushima a montré que, contrairement au rêve de Descartes, l’homme ne s’est pas rendu maître de la nature. Cette maitrise n’est-elle qu’une affaire de temps ou une immense illusion qui perdure ? Le doute semble s’installer dans les esprits… On commence à questionner l’équivalence entre progrès technique et progrès humain… Que faire alors pour éviter les catastrophes écologiques, pour laisser un monde propre aux générations futures ? Plus de technique ou une profonde remise en question de nos modèles économiques, de notre rapport à la nature ? Si le seuil de non-retour approche comme l’avancent certains, notre instinct de survie peut-il encore nous reconduire vers une vie en symbiose avec Gaia ?
Sommaire de ce café-philo
Introduction
Les origines du « sentiment vert »
La « pensée verte »
France : terre anti-écologique
Solutions rationnelles : un choix entre nature et culture ?
Peut-on encore aborder l’écologie rationnellement ?
Conclusion
Le texte complet sera bientôt disponible dans le livre Cafés-philo