Les contre-vérités sont-elles vraies ?
La philosophie est parsemée de fausses idées, mauvaises interprétations, vrais mensonges et manipulations en tout genre. Afin de préparer une série de cafés-philo qui s’annonce riche en débats vivifiants, il m’a paru opportun d’évoquer certaines contre-vérités comme : Épicure était-il un jouisseur ? Nietzsche, un antisémite ? Spinoza, un croyant ? Les stoïques, des sans-cœurs ? Marx, un marxiste ? Les cyniques, des « cy-niques » ? Machiavel, machiavélique ? Comte-Sponville, un désespéré ? Diogène vivait-il dans un tonneau ? Un nietzschéen est-il nihiliste ? Les sophistes n’étaient-ils que de beaux parleurs ? Etc. Par extension, venez nombreux explorer avec nous comment les contre-vérités peuvent devenir la norme et atteindre le « vrai ».
Sommaire de ce café-philo
Introduction
Épicure était-il « épicurien » ?
Nietzsche, un nazi ?
Nietzsche, un antisémite ?
Spinoza, un croyant ?
Les sophistes, uniquement de beaux parleurs ?
Les stoïques, des sans-cœurs ?
Marx, un marxiste ?
Diogène vivait-il dans un tonneau ?
Les cyniques, des « cyniques » ?
Machiavel, machiavélique ?
Comte-Sponville, un désespéré ?
Conclusion
Le texte complet sera bientôt disponible dans le livre Cafés-philo